Article 120 of the French Customs Code

1. Goods transported in bond or placed under a customs procedure suspending duties, taxes or prohibitions must be covered by an acquit-à-caution.

2. The acquit-à-caution shall include, in addition to the detailed declaration of the goods, the lodging of a good and solvent guarantee in respect of the non-prohibited goods; the guarantee of the guarantee may be replaced by the deposit of duties and taxes.

3. Persons liable for value added tax and assimilated taxes or, where applicable, persons who, on their behalf, pay this tax to customs or communicate the information provided for in article 293 A of the General Tax Code are exempt from providing the security referred to in 2.

4. The presentation of a guarantee may be required by the customs accountant of persons who are the subject of an uncontested registration of the preferential right of the Treasury or social security, as well as the subject of receivership or compulsory liquidation proceedings.

A decree of the Conseil d’Etat sets the conditions for granting and revoking this exemption.

Original in French 🇫🇷

Article 120

1. Les marchandises transportées sous douane ou placées sous régime douanier suspensif des droits, taxes ou prohibitions, doivent être couvertes par un acquit-à-caution.

2. L’acquit-à-caution comporte, outre la déclaration détaillée des marchandises, la constitution d’une caution bonne et solvable à l’égard des marchandises non prohibées, la garantie de la caution peut être remplacée par la consignation des droits et taxes.

3. Les redevables de la taxe sur la valeur ajoutée et des taxes assimilées ou, le cas échéant, les personnes qui, pour leur compte, acquittent cette taxe auprès des douanes ou communiquent les informations prévues au 3 de l’article 293 A du code général des impôts sont dispensés de fournir la caution mentionnée au 2.

4. La présentation d’une caution peut être exigée par le comptable des douanes des personnes qui font l’objet d’une inscription non contestée du privilège du Trésor ou de la sécurité sociale, ainsi que d’une procédure de redressement ou de liquidation judiciaire.

Un décret en Conseil d’Etat fixe les conditions de l’octroi et de l’abrogation de cette dispense.