Article L5123-2 of the French Labour Code

In the cases provided for in Article L. 5123-1, the following may be granted by means of agreements between the State and professional or inter-professional bodies, trade union organisations or companies:

1° Temporary degressive allowances for workers who cannot benefit from a training course and can only be temporarily employed in jobs involving a downgrading of their professional status ;

2° (Repealed) ;

3° Conversion allowances for employees who are granted leave with a view to benefiting from actions designed to promote their redeployment and whose employment contract is temporarily suspended for this purpose;

4° Allowances for employees whose full-time job is converted, with their agreement, into a part-time job as part of an agreement to help them switch to part-time work in order to avoid redundancies. The amount of guaranteed net income for employees covered by these agreements may not exceed 90% of their previous net remuneration.

Original in French 🇫🇷

Article L5123-2

Dans les cas prévus à l’article L. 5123-1, peuvent être attribuées par voie de conventions conclues entre l’Etat et les organismes professionnels ou interprofessionnels, les organisations syndicales ou avec les entreprises :

1° Des allocations temporaires dégressives en faveur des travailleurs qui ne peuvent bénéficier d’un stage de formation et ne peuvent être temporairement occupés que dans des emplois entraînant un déclassement professionnel ;

2° (Abrogé) ;

3° Des allocations de conversion en faveur des salariés auxquels est accordé un congé en vue de bénéficier d’actions destinées à favoriser leur reclassement et dont le contrat de travail est, à cet effet, temporairement suspendu ;

4° Des allocations en faveur des salariés dont l’emploi à temps plein est transformé, avec leur accord, en emploi à temps partiel dans le cadre d’une convention d’aide au passage à temps partiel conclue en vue d’éviter des licenciements économiques. Le montant des ressources nettes garanties des salariés adhérents à ces conventions ne pourra dépasser 90 % de leur rémunération nette antérieure.