Article L561-2 of the French Code governing the entry and residence of foreign nationals and the right of asylum

Unless their presence constitutes a threat to public order, foreign nationals who have been recognised as refugees or who have been granted subsidiary protection may apply to benefit from their right to be joined, by way of family reunification:
1° By his or her spouse or the partner with whom he or she is bound by a civil union, aged at least eighteen, if the marriage or civil union took place prior to the date of submission of his or her asylum application;
2° By his or her cohabiting partner, aged at least eighteen, with whom he or she had, prior to the date of submission of his or her asylum application, a sufficiently stable and continuous cohabitation;
3° By the couple’s unmarried children, who have not passed their nineteenth birthday.
If the refugee or beneficiary of subsidiary protection is an unmarried minor, they may apply to benefit from their right to be joined by their direct ascendants in the first degree, accompanied, where applicable, by their unmarried minor children for whom they are effectively responsible.
The age of the children is assessed on the date on which the application for family reunification was submitted.

Original in French 🇫🇷

Article L561-2

Sauf si sa présence constitue une menace pour l’ordre public, le ressortissant étranger qui s’est vu reconnaître la qualité de réfugié ou qui a obtenu le bénéfice de la protection subsidiaire peut demander à bénéficier de son droit à être rejoint, au titre de la réunification familiale :
1° Par son conjoint ou le partenaire avec lequel il est lié par une union civile, âgé d’au moins dix-huit ans, si le mariage ou l’union civile est antérieur à la date d’introduction de sa demande d’asile ;
2° Par son concubin, âgé d’au moins dix-huit ans, avec lequel il avait, avant la date d’introduction de sa demande d’asile, une vie commune suffisamment stable et continue ;
3° Par les enfants non mariés du couple, n’ayant pas dépassé leur dix-neuvième anniversaire.
Si le réfugié ou le bénéficiaire de la protection subsidiaire est un mineur non marié, il peut demander à bénéficier de son droit à être rejoint par ses ascendants directs au premier degré, accompagnés le cas échéant par leurs enfants mineurs non mariés dont ils ont la charge effective.
L’âge des enfants est apprécié à la date à laquelle la demande de réunification familiale a été introduite.